Parce que nous avons compris que le mental se sert de tous les évènements douloureux qui blessent notre cœur et aussi de toutes les occasions qui semblent faire la démonstration que nous ne sommes pas à la hauteur, pour enclencher un petit vélo de pensées négatives, la complaisance c'est fi-ni!.
Ces pensées négatives sont comme un programme qui ferait le constat que tout va mal et que c'est sans espoir.
Mais nous croyons au présent qui chante! parce qu'il n'est pas encore écrit.
Et nous prenons du recul vis-à-vis du mental parce qu'il ne dit pas toujours la vérité, toute la vérité et rien que la vérité. Il a pour caractéristique de s'alimenter de ce qui va de travers et de ce qui paraît n'avoir pas de solution. Il généralise les échecs et dramatise de façon à nous faire croire que tout est perdu.
C'est en cela que les pensées douloureuses sont fausses.
La vérité c'est que mon présent est libre, qu'il m'appartient en grande partie et qu'en tout état de cause, c'est en prenant soin de mon état intérieur que j'habiterai au mieux ce présent qui m'est offert.
Par conséquent et sans attendre le joli mois de mai, nous adhérons au principe de tolérance zéro!: quand une pensée négative surgit et s'apprête à nous intoxiquer, temps de parole refusé, accès au mental interdit! Respirons un grand coup, et partons en quête du programme qui affirme que nous sommes des êtres formidables placés dans une vie qui prend soin de nous.
Pourquoi attendre? la joie du présent c'est pour maintenant!
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