vendredi 22 novembre 2019

Good vibes!


Aux Ateliers nous parlons aux pommes! Nous faisons chaque fois la démonstration qu'un fruit est sensible aux agressions. La théorie en revient à Masuru Emoto qui a révélé la mémoire de l'eau. L'eau se pollue au contact de l'agression ou se purifie au contact de bonnes vibrations. Le fruit étant constitué en grande partie d'eau, l'hypothèse selon laquelle il est physiquement impacté par les agressions est plausible!

Depuis plusieurs années, les participants aux Ateliers le vérifient en famille ou au bureau. Les derniers en date: ces coings magnifiques qui ont séjourné pour partie à la maison pour partie au bureau, vous devinerez quels sont les deux travailleurs. Cette entreprise avait déjà fait pourrir une pomme de façon flagrante!

Ce qui fait froid dans le dos quand on sait que l'être humain est lui-même composé en grande partie d'eau. Les messages négatifs nous abîment physiquement.

Comment mettre cette curieuse expérience au service du bien-être en entreprise?

Les plus audacieux pourront apporter un fruit et inviter leur collègue à l'injurier pour faire la démonstration de l'impact réel de l'agressivité. Pour ceux qui souffrent déjà de l'atmosphère au travail, le challenge est plutôt de faire survivre le fruit le plus longtemps possible en encourageant les collègues à exprimer leurs besoins de façon positive. Pour que notre lieu de travail reste orienté vers sa mission et que tous ceux qui y consacrent leurs journées rentrent le soir certes fatigués mais le coeur serein. Et si vous n'osez pas formuler l'expérience à voix haute, apportez juste votre fruit et comparez son évolution avec celui que vous aurez laissé chez vous pour servir de témoin. Veillez à ce que la luminosité et la température soient semblables et observez!

A vous de solliciter les good vibes de vos collègues!

vendredi 15 novembre 2019

Maslow! Maslow! Maslow! morne plaine!


Nous avons été bercés par la pyramide de Maslow qui nous promettait le bonheur proportionnellement à la satisfaction de nos besoins.

Si nous pouvions combler nos besoins physiologiques (n'avoir ni faim ni froid, ne pas être malade, ne pas souffrir), nous serions en mesure de prendre soin des besoins de sécurité (avoir une maison, un travail, une assurance) qui nous libéreraient pour nourrir ceux de reconnaissance et d'amour. Alors, rassurés, nous pourrions bâtir une jolie estime de soi. Et cadeau suprême, pour les êtres achevés, nous pourrions nous féliciter de nous réaliser!

Curieux constat lorsqu'on visite Calcutta: comment des gens qui vivent dans le pire endroit au monde que sont ces bidons-villes peuvent-ils arborer de si jolis sourires? Pourquoi à leur contact se sent-on si vivant? Ils n'atteignent pourtant pas le premier échelon de la pyramide!

Les Indiens, pour les prendre comme exemple à la démonstration, considèrent que la vie est un grand mouvement, que l'homme ne peut rien contre le déploiement du monde mais qu'il lui appartient d'accepter ce qui est et d'entrer dans ce mouvement. Ils ne contrôlent rien de leur vie (mangeront-ils ce soir? pleuvra-t-il dans leur maisonnette cette nuit?...), ils ne disposent que du temps présent.

Nous avons appris qu'il faut tout prévoir. Ils se réjouissent pour chaque chose positive qui survient.

Nous avons appris à résister au mauvais sort, à nous battre contre les éléments contraires, à nous en sortir seuls. Ils pratiquent le lâcher prise comme principe de vie: si cela arrive c'est que cela devait arriver, si cela n'arrive pas c'est qu'il devait en être autrement.

Nous payons des stage de développement personnel pour comprendre ce principe de lâcher prise. Ils expérimentent tous les jours que c'est un poids en moins d'arrêter de lutter contre ce qui est pour se consacrer à vivre ce qui est offert.

Assurément cette confiance en la vie est source de joie, elle rend spirituel au sens où elle nous rappelle que tout se reçoit. Finie la morne plaine du quotidien, bienvenue à la danse de la vie!

jeudi 7 novembre 2019

Et si on rangeait?


Le désordre n'a l'air de rien mais draine notre énergie chaque fois que notre regard se porte dessus. Pourquoi? Parce qu'il génère des idées telles que:
- il faudrait que je ...
- tout ça à ...
- c'est encore là!
- ça ne partira jamais!
- je ne suis pas capable de ranger des choses simples… alors ma vie!

Les participants aux Ateliers ont pris le taureau par les cornes!
L'une a rangé son bureau qui était peu plaisant. Avec l'espace gagné elle va pouvoir le rendre agréable.
Une autre a affronté son garage envahi de cartons destinés à être triés pour être ensuite offerts et qui en vérité prenaient racine. Désormais, c'est décidé, cette étape intermédiaire d'attente incertaine n'existera plus!
Une encore a profité de cet exercice pour faire de la place pour les autres et partager un moment de qualité.

De fait, l'action paraît anodine mais libère autant la pensée que le coeur.

Elle demande un investissement ponctuel mais la récompense se savoure longtemps.

Quel placard allez-vous attaquer?