Un peu de douceur dans un monde de brutes
C'est ce qu'offre le lâcher prise et qu'on ressent en fin des Ateliers.
Après 2 ans de maltraitance avec la pandémie,
une guerre absurde et sanglante,
l'incertitude des élections à venir,
on pourrait se dire que la brutalité et l'inconfort n'ont pas de fin.
Mais à l'échelle de la personne,
celui qui décide de faire confiance dans ce monde incertain,
éprouve une fluidité.
Plus nous contrôlons nos vies
et plus nous participons à la violence du monde.
Plus nous acceptons que les choses soient
et faisons le choix de la souplesse pour épouser la vie
et plus la vie répand sa créativité.
C'est peut-être parce que c'est rassurant de le constater
que nous ressentons de la douceur.
En tout cas c'est assez rare pour le partager.
Après 2 ans de maltraitance avec la pandémie,
une guerre absurde et sanglante,
l'incertitude des élections à venir,
on pourrait se dire que la brutalité et l'inconfort n'ont pas de fin.
Mais à l'échelle de la personne,
celui qui décide de faire confiance dans ce monde incertain,
éprouve une fluidité.
Plus nous contrôlons nos vies
et plus nous participons à la violence du monde.
Plus nous acceptons que les choses soient
et faisons le choix de la souplesse pour épouser la vie
et plus la vie répand sa créativité.
C'est peut-être parce que c'est rassurant de le constater
que nous ressentons de la douceur.
En tout cas c'est assez rare pour le partager.