jeudi 12 avril 2018

Le clin d'oeil de pleine conscience


L'arbre et le cœur


Un nouvel Atelier de méditation touche à son terme. Parmi les participants, un entrepreneur. Une semaine exigeante. Des émotions à forte dose. Une certaine fatigue.
Et puis un arbre en fleurs.
15mn de contemplation de l'arbre, sans projet particulier. Juste voir la beauté.
Constat: des émotions digérées et une énergie renouvelée.

Que s'est-il passé? Observer sans faire de commentaire intérieur c'est mettre la fonction émissivité du cerveau sur pause et passer sur le mode réceptivité. Ce deuxième mode accueille ce qui est sans vouloir changer le réel. Il ne juge pas. Il est bienveillant. Il est aussi prouvé cliniquement qu'il restaure l'énergie.

Produire des idées est plus valorisant mais cultiver l'attention donne une sensation d'équilibre intérieur.

Dans notre monde actuel, où nous sommes tous entreprenants si ce n'est entrepreneurs, la pleine conscience nous appelle à la prudence dans l'usage des 2 fonctions de notre cerveau.

Les jours où nous produisons beaucoup intellectuellement pensons à réserver des instants de conscience pure. Pour rien. Juste pour notre paix intérieure. Pour que la vie reste belle.

jeudi 5 avril 2018

Le clin d'oeil de pleine conscience

Désir et phrase positive

Le Dr Coué conseillait de répéter une phrase positive pour aller mieux.
On a longtemps cru que c'était une phrase pour faire advenir des souhaits et qu'elle reposait sur la pensée magique.
Mais aujourd'hui le Dr Coué retrouve ses galons et on lui reconnaît son apport à la pleine conscience.
La phrase positive n'est ressource que si elle fait appel au désir profond de notre cœur à vivre bien. Elle entend agir sur le ressenti intérieur.
Or savons-nous précisément ce que nous désirons ressentir?

Pour une belle semaine positive, posons-nous un instant, le temps de cette question: que voudrait ressentir mon cœur cette semaine?
De l'enthousiasme, de la légèreté, de la tendresse, l'envie de rire, voudrait-il se sentir comblé, rassuré ou tranquille...?
Ensuite, prenez une petite pancarte, portez-y cet état intérieur désirable en une phrase courte, positive et qui parle au présent comme si c'était déjà fait.

Je vois d'ici les zygomatiques qui remontent!