lundi 9 janvier 2017

Eloge de la lenteur

De nos jours et d'autant plus si l'on vit en ville, comment échapper à la croyance que le temps nous est compté?
Comment allons-nous pouvoir tout faire?

Pour faire suite au clin d'œil précédent, la question du jour est: et si le temps était un état interne choisi?

Qu'est-ce qui m'empêche après tout, de décider, que dedans au moins, je redonnerai tout son espace au temps?
Et qu'est-ce que cela change?

Je vous laisse essayer.

Pour moi, si je me considère libérée du temps, je prends plaisir à accomplir les petites choses. J'ai naturellement envie de les faire bien, en posant chaque geste et de mener l'action jusqu'au bout pour qu'elle soit belle.
Le stress fait place à la créativité puisque j'arrête de subir l'action que j'ai entreprise et que je souhaite la vivre au mieux.
Et la contrainte cède le pas à l'amour parce que je me mets à poser les actes pour quelqu'un.
Refuser l'esclavage de la vitesse m'amène à la joie simple de la pleine conscience.

Je vous en souhaite autant pour une semaine lente et belle!

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